De Dendérah, Jean-François Champollion rapporte dans son journal de notes :

" Je ne tenterai pas d’écrire l’impression que nous fit en particulier le portique du grand temple. On peut le mesurer, on ne saurait le décrire. L’élégance et la majesté s’y trouvent réunies au degré le plus haut. Nous restâmes deux heures plongés dans l’extase. "